Notre travail n’est pas régulier, mieux vaut se faire rapidement à cette idée et en tirer le meilleur parti.
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C’est un fait avéré : le travail du traducteur arrive par vague
La plupart des travailleurs autonomes connaissent cette réalité, nous ne faisons pas exception à la règle. Plusieurs jours peuvent s’écouler sans la moindre mission à l’horizon avant que, d’un coup, plusieurs projets remplissent notre planning pour des semaines.
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Pas de boulot : évidemment c’est stressant
Et si… Et si quoi, en fait ? Si tous nos clients avaient subitement décidé de ne plus JAMAIS nous adresser la parole ? Si nous ne recevions plus la plus misérable ligne à traduire ? Si, tout d’un coup, tous les clients du monde entier se mettaient à douter de la qualité de notre travail ?
Mais oui, bien entendu… Et si nous arrêtions de flipper comme des malades pour rien ?
Et si, simplement, les clients avaient d’autres impératifs ? Et si un gros projet étaient un peu plus long que prévu à boucler ? …
Et si on en profitait, pour une fois ?
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Surfer sur la vague
Au lieu de s’inquiéter pour un travail qui, sous peu, reviendra et ne nous laissera pas une minute, pourquoi ne pas profiter d’un peu de calme.
Nous avons de nombreuses autres choses à faire que traduire : accomplir nos tâches administratives, nous former, contacter de nouveaux clients, remettre nos CV à jour, revoir notre communication, ranger le bureau, mais aussi sortir prendre l’air, passer du temps en famille, paresser, …
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Inutile de s’inquiéter, le travail reprendra bien assez tôt. 😉
Emma GUERRY
Les périodes de calme sont dures à accepter; et cela est d’autant plus vrai lorsque l’on démarre ce vaste projet qu’est l’entrepreneuriat. Cela demande beaucoup d’énergie et d’organisation. Et puis il y a des périodes plus propices au calme, tel que le mois d’août. J’en profite donc pour contacter de nouveaux prospects et mettre à jour ma logistique. Merci pour cet article: il est toujours bon de savoir que l’on n’est pas seul face aux difficultés du métier
Manuel@
Merci Emma pour ton commentaire.
Tu adoptes la bonne attitude, on a toujours quelque chose à faire, le travail ne manque pas : prospection, réseautage, documentation, autoformation, …
Le tout est de ne pas céder à la panique mais plutôt de profiter d’un peu de temps « libre ».